En élaborant et implémentant au sein d’entreprises son concept de conciergerie collaborative, JOBBERS.COM est actuellement pionnier dans un domaine à la croisée de deux mondes : le monde de la consommation collaborative et le monde de l’entreprise.

C’est donc avec une certaine légitimité qu’avec tout le Staff JOBBERS, nous sommes amenés à nous interroger sur les liens qui existent entre ces deux mondes.

En quoi un modèle basé sur la consommation collaborative peut-il être intéressant pour les entreprises ? Sous quelles formes le modèle de la consommation collaborative peut-il se développer dans les entreprises ?

 

Conciergeries 3.0 pour entreprises

La conciergerie collaborative, modèle basé sur celui de la consommation collaborative est un service haut de gamme de conciergerie d’entreprise qui contribue à dynamiser le marché du travail dans toute la zone géographique autour de l’entreprise.

 

 

Tout en veillant à bien respecter toutes les attentes liées au niveau de qualité associé à une conciergerie d’entreprise traditionnelle, elle permet à des personnes qualifiées et désireuses de travailler (profils vérifiés par JOBBERS.COM, contrôle de référence effectué par nos soins et entretien individuel avec l’équipe dirigeante), de pouvoir compléter leurs revenus de manière stable et durable.

Ceci s’avère ainsi être une réelle opportunité autant pour les particuliers de tout horizons, que pour les entreprises, soucieuses du bien-être et de la productivité de leurs salariés. En effet, en plus d’économiser du temps précieux en déléguant facilement des tâches qui sont pour eux source de stress (tondre le gazon, aller faire des démarches administratives…), cette initiative tend à renforcer le lien social qui existe entre les salariés ( ils se recommandent directement les jobbers dont ils sont pleinement satisfaits ).

Le covoiturage ou le cas Blablacar

Voici donc un modèle basé sur la consommation collaborative, qui de fait est intéressant pour les entreprises. Mais en existent-ils d’autres ? Ceci est une certitude ! D’ailleurs le modèle Blablacar, qui n’arrête pas de gagner en puissance depuis ces derniers temps en est un exemple probant !

Le principe est simple, inciter les gens, et leur faciliter l’accès à la pratique du covoiturage.

 

Cette alternative originale qui renforce le lien social entre salariés et fait gagner de l’argent à tous a d’ailleurs la particularité d’être une véritable bénédiction pour l’environnement. C’est ainsi qu’en 2013, plus de 200 partenariats avec des entreprises sont revendiqués par Blablacar !

Mais attendez deux secondes… Les termes évoqués ici pour justifier le développement des pratiques de la consommation collaborative dans les entreprises pour l’instant sont : “ bien-être des salariés ”, “ bénédiction pour l’environnement ” et “ renforcement du lien social entres salariés “ . Quel rapport donc avec ce qui concerne l’entreprise en question ? Le but d’une entreprise est de faire du profit, non ?

 

 

RSE et consommation collaborative, une synergie parfaite !

Depuis quelques années maintenant on entends de plus en plus ce mot : “ RSE “. Mais qu’est-ce que c’est ? Derrière cet acronyme se cache en fait le concept de responsabilité sociétale des entreprises.

Pour faire simple, essayons d’expliquer ce concept en quelques mots. Les entreprises jouant un rôle central dans nos sociétés modernes et gagnant toujours plus en pouvoir, il est normal qu’elles deviennent de plus en plus responsables vis-à-vis des personnes qui dépendent d’elles. C’est un peu le principe du bon roi, qui en échange du pouvoir, doit veiller sur ses sujets.

 

 

Ainsi, si certaines obligations liées au concept de RSE ne concernent que les très grosses entreprises, c’est l’ensemble des entreprises qui commencent doucement à se sensibiliser à ce sujet et de par leur propre initiative, contribuent à mettre en place des mesures bénéfiques pour leurs employés et l’environnement.

De plus, beaucoup de managers commencent à réaliser que un employé effectue mieux son travail quand il se sent bien, augmenter son “ bien-être “ et son environnement peut donc avoir une répercussion directe sur les résultats de l’entreprise (et de manière significativement positive même !).

 

 

Les différentes formes de consommation collaborative au sein de l’entreprise

Maintenant, on l’a bien compris, les entreprises ont tout intérêt à développer des modèles collaboratifs. Oui, mais sous quelles formes ces pratiques peuvent elles apparaître ?

La première forme, et celle à laquelle on pense le plus instinctivement, car elle reprends directement les formes de consommation collaborative présentes chez les consommateurs, c’est une forme que l’on pourrait qualifier de “ C2C collaboratif “. Le C2C (prononcé “ citouci “ ) faisant référence à l’aspect consommateur à consommateur, tel qu’il est présent dans l’offre de JOBBERS.COM(où le salarié traite directement avec le jobber) ou encore dans l’offre de Blablacar.

Mais là où il y a du nouveau, c’est que de la rencontre de ces deux univers auparavant séparés émerge une nouvelle forme complètement nouvelle de consommation collaborative, ce que l’on pourrait appeler le “ B2B collaboratif “ (B2B : business-to-business).

Si les initiatives dans ce domaine ne sont pas encore légion, on peut d’ores et déjà noter le phénomène de coworking qui du moins sur Paris marche de plus en plus . Eh oui ! Ce principe sympa où plusieurs jeunes créateurs d’entreprises se partagent un même local pour réduire leurs loyers, se faire du réseau entre eux et générer une atmosphère propice à l’ébullition intellectuelle ( petit clin d’oeil à la Poussinade 😉 ).

 

Seulement, même si ces pratiques commencent à se développer en France, on peut tout de même avouer que nous ne sommes qu’aux balbutiements de la consommation collaborative en B2B.

Mais de la même manière dont la consommation collaborative a pu doucement s’immiscer dans la vie de nombreux consommateurs pour finir par s’imposer comme un véritable mode de consommation alternatif et viable aux yeux de millions de personnes, nous n’avons plus qu’à espérer (ou simplement attendre, pour les plus optimistes d’entre nous) que le succès sera de la même ampleur du coté des entreprises !

Jean-Marie Malé

 

 

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